DESS |
SOMMAIRE
L'équipe administrative et pédagogique du D.E.S.S. Acteur international dans le domaine des langues est heureuse de vous accueillir au Centre de Linguistique Appliquée. Nous vous souhaitons la bienvenue et d’agréables séjours à Besançon.
Marc SOUCHON
Responsable de la formation
Jean-Marie GAUTHEROT |
Directeur Général du C.L.A. |
03 81 66 52
01 |
Hervé BROCARD |
Directeur Adjoint - section de français |
03
81 66 52 27 |
Christian TOURNIER |
Responsable Administratif et Financier |
03
81 66 52 10 |
Christiane CARRY |
Responsable de la Communication |
03 81
66 52 31 |
Marc SOUCHON |
Responsable du D.E.S.S. |
03 81 66 52 34 |
Catherine GARCIA |
Secrétariat D.E.S.S. |
03 81 66 52 60 |
Michel LACAILLE |
Coordinateur Service Accueil |
03 81 66 52
06 |
Hervé LECHES |
Activités Culturelles |
03 81 66 52 22 |
Marie-Claire GLORIEUX |
Service Logement |
03 81 66 52 23 |
L'EQUIPE PEDAGOGIQUE
Pamela ALBERT |
Claude LE NINAN |
Joan BELLEC |
Judith MIGEOT-ALVARADO |
Evelyne BERARD |
François MIGEOT |
Thierry CHANIER |
Bernadette MIROUDOT |
Régis CRISTIN |
Philippe PETIT |
Stéphane DELMOTTE |
Sonia PRUDHAM |
Josette GAUME |
Marc SOUCHON |
Jean-Marie GAUTHEROT |
Martial THIRIOT |
Danielle LAPORTE |
Claude TRUCHOT |
Daniel LEBAUD |
|
N.B. : Cette équipe comprend également un certain nombre d’intervenants qui donneront des conférences et/ou animeront des séminaires.
· Analyse des besoins
· Le plan de formation
· Référentiels professionnels
· Evaluation professionnelle
· Démarche qualité en
formation
· Gestion économique de la
formation
· Pédagogie du projet
· Expertise de contenus et de
programmes
· Référentiels linguistiques
· Conception de curricula et
de programmes
· Nouvelles technologies
éducatives (NTE) au service de la formation et de la gestion
· Présentations,
représentations de soi
· Politique linguistique
· Analyse des systèmes
éducatifs
· Réseaux francophones
· Recherche en formation
· Repères linguistiques et
didactiques
· Evaluation linguistique
· Traductologie
· Initiation à la prise de
parole en langue étrangère dans les conférences et les séminaires
CALENDRIER DES ENSEIGNEMENTS 1999-2000
1. Séminaire en présentiel
Du 25.10.99 au 05.11.99 |
l Présentations, représentations de soi |
12,5 h |
2 semaines |
l Analyse des besoins |
12,5 h |
50 heures |
l Pédagogie du projet |
12,5 h |
|
l Référentiels linguistiques |
12,5 h |
2. Enseignement
à distance
Du 06.11.99 au 13.02.2000 |
l Analyse des systèmes éducatifs |
12,5 h |
14 semaines |
l Evaluation linguistique |
12,5 h |
43,5 heures |
l Plan de formation |
6 h |
|
l Référentiels professionnels |
12,5 h |
3. Séminaire en présentiel
Du 14 au 26.02.2000 |
l Expertise de contenus et de programmes |
19,0 h |
2 semaines |
l Politique linguistique |
8 h |
47 heures |
l N.T.E., outils de gestion |
20 h |
4. Enseignement à distance
Du 27.02 au 02.07.2000 |
l Repères linguistiques |
12,5 h |
18 semaines |
l Repères didactiques |
12,5 h |
71 heures |
l Réseaux internationaux francophones |
9,0 h |
|
l Démarche qualité |
6 h |
|
l Gestion économique de la formation |
12,5 h |
|
l Politique linguistique |
6 h |
|
l Traductologie |
12,5 h |
5. Séminaire en présentiel
Du 03.07. au 28.07.2000 |
l Evaluation professionnelle |
12,5 h |
4 semaines |
l Réseaux francophones |
9,0 h |
88,5 heures |
l Conception de curricula et de programmes (référentiels) |
25,0 h |
|
l Nouvelles technologies éducatives |
25,0 h |
|
l Recherche en formation (*) |
4,5 h |
|
l Préparation à la conférence (en anglais) |
12,5 h |
(*) Ces heures correspondent uniquement aux heures de travail effectives avec le directeur du rapport de stage.
Les ouvrages précédés d’un * dans
les bibliographies sont particulièrement conseillés.
Analyse des besoins - C. Le Ninan
12,5 heures
v Objectif général :
Maîtriser les outils nécessaires au projet qui sera
réalisé dans le cadre du stage, et à d’autres projets dans le cadre d’une
activité professionnelle.
v Objectifs :
·
Prendre
conscience de la nécessité d’avoir une approche raisonnée.
·
Identifier
et classer les différents types de besoin.
·
S’approprier
les outils ingénieriques.
·
Lister
les ressources nécessaires pour mener à bien un projet donné.
v Contenus :
·
Les
besoins langagiers des apprenants en langue, rappel.
·
Des
besoins langagiers aux besoins ingénieriques.
·
Le
projet et les besoins.
·
Typologie
des besoins.
·
L’indispensable,
le souhaitable, l’idéal.
·
La
technique du remue-méninges.
·
Les
notions de back et front office.
·
Quintilien.
·
Les
critères d’évaluation.
·
La
veille technologique et l’étalonnage.
·
L’entonnoir.
·
Les
fournitures.
·
L’analyse
en arbre.
·
Le
suivi des tâches.
·
Étude
du cas “ CRFOS ”.
·
Simulation
du cas “ RAKI ”.
v Modalités de travail :
·
Périodes
alternant la présentation théorique des concepts, notions et outils, les
exposés des étudiants, l’étude et la simulation de cas réels, les mises au
point.
·
Travail
en grand groupe et en sous-groupes.
v Évaluation :
Ce module ne fait pas l’objet d’une évaluation.
v Bibliographie :
*HUTCHINSON T., WATERS A. (1987) : English for Specific Purposes, A
Learning-Centred Approach, Cambidge University Press, Cambridge
*RICHTERICH R. (1985) : Besoins langagiers et objectifs d’apprentissage, Hachette, Paris
RICHTERICH R., CHANCEREL
J.-L. (1977) : L’identification des
besoins des adultes apprenant une langue étrangère, Didier, Paris
VAN EK J. A. (1988) : Objectifs de l’apprentissage des langues
vivantes, Les éditions du Conseil de l’Europe, Strasbourg
Le plan
de formation – E. Bérard
6 heures
Il s’agira de situer l’élaboration d’un plan de formation dans un ensemble qui va de l’analyse des besoins à l’évaluation de la formation.
v Programme :
Nous verrons comment concevoir et réaliser un plan de formation à partir d’études de cas concrets. Cette partie technique sera complétée par une réflexion sur les spécificités de la formation d’enseignants.
v Evaluation :
Analyse d’un plan de formation
v Bibliographie :
*DENNERY Marc (1999) : Piloter un projet de formation, ESF.
DEVELAY (1994) : Peut-on former les enseignants ?, ESF.
*GILLET Pierre, CEPEC
(1992) : Construire la formation, ESF.
HADJI Charles (1992) : L’évaluation des actions éducatives, PUF.
MORANDI Franc (1997) : Modèles et méthodes en pédagogie, Nathan Université.
Les
référentiels professionnels – J. Bellec, R. Cristin
12,5 heures
v Objectifs :
L’ingénierie de la formation
peut être considérée comme l’art (ou la technique) de produire des référentiels
qui serviront de base à la mise en place des plans de formation. Il s’agira
donc de réfléchir à la production de référentiels appropriés aux différents
métiers rencontrés au cour de l’année.
v Contenus :
Quelle est la perspective ouverte par l’utilisation des référentiels dans le champ de la formation professionnelle des enseignants de FLE, comment peut-on les construire, comment doit-on les utiliser et quelles en sont les limites ?
v
Evaluation :
Contrôle continu à partir de questions posées tout au long du cours, puis devoir commun avec la partie n° 1 du cours.
v Bibliographie :
*BOUTINET J.-P.
(1990) : Anthropologie du projet,
PUF, Paris.
*LE BOTERF G. (1990) : L’ingénierie et l’évaluation de la
formation, EO, Paris.
PCE-LINGUA (1996) : Formation de formateurs en langue étrangère,
collectif, C.L.A. avril.
Articles :
*DE PERETTI A. (1991) :
Ingénierie de la formation, in
“ Les tendances nouvelles dans la formation des enseignants :
stratégies françaises et expériences étrangères ”, Actes du colloque de
Versailles, 14, 15 et 16 novembre 1990, 18 pages.
DEMAILLY L. (1991) : Modèles de formation continue des
enseignants et rapport aux savoirs professionnels, in Recherche et
Formation N° 10, octobre.
*CRISTIN R., PALIKARSKA B.
(1998) : Former des formateurs en
F.L.E., un projet pour la Bulgarie, LFdlM, avril.
*PAQUAY
L. (1994) : Vers un référentiel
des compétences professionnelles de l’enseignant, in Recherche et Formation
n° 15, juin.
Evaluation
professionnelle
- R. Cristin
12,5 heures
v Objectif :
L’ingénierie de la formation est un modèle d’évaluation globale. Prendre conscience de cet état de fait, à partir d’expériences et d’exemples, est l’objectif général et final de cette intervention.
v Contenus :
Mise en forme générale de la formation selon les procédures d’évaluation prédictive, formative et sommative. On tentera de retrouver les pré-requis (besoins/demandes), les compétences visées (attentes/objectifs), les capacités développées. Cette mise en forme porte sur 3 temps, 3 domaines (les contenus, les comportements, la formation elle-même) et 4 niveaux.
v Evaluation :
Présentation d’un cas concret étudié.
v Bibliographie :
*DE PERETTI A. (1991) :
Organiser des formations, Hachette,
Paris.
*HADJI C. (1992) : L’évaluation, règles du jeu, ESF, Paris.
*CRISTIN R. (1997) : Le projet pédagogique en FLE, Le
Français dans le Monde n° 288.
Démarche qualité - M. Thiriot
6
heures
Au niveau
mondial, le "management de la qualité" est une préoccupation
forte des entreprises depuis une dizaine d'années. Ce mouvement s'étend
aujourd'hui au secteur des services et, entre autres, à celui de la formation à
qui l'on demande de plus en plus de faire la preuve de sa performance en terme
économique.
Cette évolution pose de nombreuses questions aux
opérateurs de formation :
quelles réflexions, quelle méthodologie mener pour
mettre en oeuvre une démarche globale d'amélioration des processus de
formation, comment peut-on donner
confiance ?
Peut-on et faut-il appliquer en formation des
méthodes identiques à celles imaginées dans l'industrie ?
Nous envisagerons, dans ce module, de construire des
éléments de réponse à ces questions.
v Bibliograhie :
BERCOVITZ A., FIEVET P., POIRIER D. (1994) : Pour apprécier la qualité en formation,
L'Harmattan, Paris.
EDUCATION PERMANENTE - Actualité de la formation
permanente 1996 n° 126
Articles divers sur la qualité en formation et
dossier normes.
JURAN J. (1987) : La qualité dans les services, AFNOR gestion, Paris.
LA BOTERF G., BARZUCHETTI S., VINCENT F.
(1992) : Comment manager la qualité
de la formation, Les Editions
d'Organisation, Paris.
MISPELBLOM F. (1995) : Au-delà de la qualité. Démarches qualité, conditions de travail et politiques du bonheur, Paris Syros.
Normes ISO 8402 : Management de la qualité et assurance qualité, Vocabulaire, AFNOR, Paris.
Normes ISO 9004-2 : Gestion de la qualité et éléments de système qualité, Lignes directrices pour les services, AFNOR, Paris.
Normes Formation Professionnelle n° NF X 50 756 - NF
X 50 760 - NF X 50 761 -NF X 50 764.
Gestion économique de la
formation – P. Petit
6 heures
v Objectif :
·
Apprendre
à gérer un budget de formation dans un cadre public ou privé.
·
Connaître
l’organisation financière des établissements publics d’enseignement.
v Programme :
·
L’organisation
budgétaire et comptable des établissements publics.
·
Les
règles de la gestion budgétaire et comptable d’une formation dans le cadre du
secteur public.
·
Elaboration,
exécution et contrôle d’un budget de formation.
v Bibliographie :
La réglementation développée résulte d’instructions administratives variées. Pour une connaissance générale de la gestion financière publique, on peut se reporter au manuel de finances publiques de :
*LALUMIERE Pierre : Les finances publiques, Collection U, Librairie Armand Colin,
Paris.
Pédagogie du projet – C. Le Ninan
12,5 heures
v Objectif général :
Être capable de mener à bien un projet impliquant
des enseignants néophytes dans ce domaine.
v Objectifs :
·
Formuler
de façon claire un projet.
·
Rédiger
pour l’intérieur et l’extérieur.
·
Déterminer
les besoins nécessaires pour mener à bien un projet.
·
Gérer
les ressources humaines.
·
Gérer
les difficultés.
·
Piloter.
·
Assurer
la qualité.
·
Évaluer.
v Contenus :
·
Définition
et origine de la pédagogie du projet.
·
Le
rôle du projet dans la formation d’acteur international.
·
Typologie.
·
La
méthode et les outils : les qualités nécessaires, les règles, les phases,
le cahier des charges, ressources et contraintes, la communication,
l’évaluation.
·
Étude du cas “ MISR ”.
·
Mise
en forme des projets individuels.
v Modalités de travail :
·
Périodes
alternant la présentation théorique des concepts, notions et outils, les
exposés des étudiants, l’étude et la simulation de cas réels, les mises au
point.
·
Travail
en grand groupe et en sous-groupes.
v Évaluation
·
type :
devoir d’une longueur de trois à quatre pages (2000 signes/page) portant sur la
simulation d’un cas non étudié pendant le cours.
·
critères
d’évaluation (5 points par critère) : qualité de la rédaction, maîtrise
des concepts, notions et outils, pertinence des solutions proposées.
v Bibliographie :
*BORDALLO
I., GINESTET J.-P. (1993) : Pour une
pédagogie du projet, Hachette, Paris
*BOUTINET
J.-P. (1990) : Anthropologie du
projet, PUF, Paris
CRISTIN R. (1998) : Le projet pédagogique en français, Le
français dans le monde, n° 288
OBIN J.-P., CROS F.
(1991) : Le projet d’établissement,
Hachette, Paris
VASILEFF J. (1991) La pédagogie du projet en formation jeunes et adultes, Chronique
sociale, Lyon
Expertise de contenus et de
programmes – E. Bérard, C. Le Ninan
19 heures
v Objectif
général :
Être capable d’expertiser des programmes et des
manuels de façon raisonnée.
v Objectifs :
·
Se
préparer à une expertise.
·
Agir
de façon adéquate par rapport au contexte.
·
Choisir
la méthode adéquate.
·
Rédiger
un rapport d’expertise.
v Contenus :
·
Déontologie
de l’expertise.
·
Intérêt
et limites.
·
Principes.
·
Rappel
de la démarche curriculaire.
·
Les
objets de l’expertise.
·
L’évaluation
a priori , a posteriori.
·
Le
projet déclaré, implicite, réalisé.
·
Rappel
concernant les objectifs pédagogiques.
·
Le
rapport avec le contexte.
·
Rappel
concernant le rapport curriculum/manuel.
·
Analyse
de grilles d’analyse existantes.
·
Rappel
des critères d’évaluation dans l’optique de l’ingénierie de la formation.
·
Constitution
d’une grille personnalisée.
·
Étude
de cas de méthodes et d’ensembles pédagogiques.
·
Étude
de cas de programmes.
·
Simulation
à partir des cas “ Golfe ” et “ Océan ”
v Modalités de travail :
·
Périodes
alternant la présentation théorique des concepts, notions et outils, les
exposés des étudiants, l’étude et la simulation de cas réels, les mises au
point.
·
Travail
en grand groupe et en sous-groupes.
v Évaluation :
·
type :
devoir d’une longueur de trois à quatre pages (2000 signes/page) portant sur la
simulation d’un cas non étudié pendant le cours.
· critères
d’évaluation (5 points par critère) : qualité de la rédaction, maîtrise
des concepts, notions et outils, pertinence des solutions proposées.
v Bibliographie :
*BERTOCCHINI P., COSTANZA E. (1989) : Manuel d’autoformation, Hachette, Paris
*Conseil de la coopération culturelle, Comité de
l’éducation (1997) : Projet 2 d’une proposition de cadre
(Les langues vivantes : apprendre, enseigner, évaluer. Un cadre européen
de référence), Conseil de l’Europe, Strasbourg
*De KETELE J.-M., CHASTRETTE M., CROS D., METTELIN
P., THOMAS J. (1988) : Guide du
formateur, De Boeck Université, Paris, Bruxelles
DE PERETTI
A. (1991) : Organiser des formations,
Hachette, Paris
*GÉRARD F.-M., ROEGIERS X. (1993) : Concevoir et évaluer des manuels scolaires,
De Boeck Université, Paris, Bruxelles
*HOPKINS A. (1996) : Guide à l’usage des auteurs de manuels et de matériel pédagogique
(Les langues vivantes : apprendre, enseigner, évaluer. Un cadre européen
de référence), Conseil de l’Europe, Strasbourg
HUTCHINSON T., WATERS A.
(1987) : English for Specific
Purposes, A Learning-Centred Approach, Cambidge University Press, Cambridge
*MAGER R. F. (1977) : Comment définir des objectifs pédagogiques,
Dunod, Paris
*ROEGIERS X. (1997) : Analyser une action d’éducation ou de formation, De Boeck
Université, Paris, Bruxelles
*STOKS G.L.M. (1996) : Guide à l’usage des concepteurs de programmes (Les langues
vivantes : apprendre, enseigner, évaluer. Un cadre européen de référence),
Conseil de l’Europe, Strasbourg
STRAUVEN C.
(1992) : Construire une formation,
De Boeck Université, Paris, Bruxelles
Référentiels linguistiques - Joan Bellec, C. Le Ninan
12,5 heures
v Objectif général :
Être capable de comprendre, d’exploiter, d’élaborer
un référentiel de langue.
v Objectifs :
·
Situer
la place d’un référentiel dans une démarche ingénierique.
·
Formuler
des activités de communication en terme de compétences.
·
Traduire
des activités de communication dans un référentiel.
·
Appliquer
la méthodologie à des situations variées.
v Contenus :
·
Présentation
de notions-clés en ingénierie de la formation.
·
Définition
et origine du terme “ référentiel ”.
·
Typologie
des différents types de référentiels.
·
Distinction
entre référentiel, programme, syllabus, curriculum.
·
Les
différents types de référentiels linguistiques.
·
Intérêt
et limites des référentiels.
·
L’analyse
en arbre.
·
Examen
de référentiels : VGOS, niveau-seuil, Vaystage, Vantage level.
·
Étude
du cas “ ADP ”.
·
Simulation
du cas “ douaniers ”.
v Modalités de travail :
·
Périodes
alternant la présentation théorique des concepts, notions et outils, les
exposés des étudiants, l’étude et la simulation de cas réels, les mises au
point.
·
Travail
en grand groupe et en sous-groupes.
v Évaluation :
·
type :
devoir d’une longueur de trois à quatre pages (2000 signes/page) portant sur la
simulation d’un cas non étudié pendant le cours.
·
critères
d’évaluation (5 points par critère) : qualité de la rédaction, maîtrise
des concepts, notions et outils, pertinence des solutions proposées.
v Bibliographie :
*CHARLES J.-C. dir. (1992) : Du référentiel à l’évaluation, Les
Editions Foucher, Paris
*COSTE D., COURTILLON J., FERENCZI V.,
MARTINS-BALTAR M., PAPO E., ROULET E. (1976) : Un niveau-seuil, Hatier, Paris
DE KETELE J.-M., CHASTRETTE
M., CROS D. METTELIN P., THOMAS J. (1989) : Guide du formateur, De Boeck Université, Paris, Bruxelles
DE PERETTI
A. (1991) : Organiser des formations,
Hachette, Paris
FINOCCHIARO M., BRUMFIT C.
(1983) The Functional-Notional Approach,
Oxford University Press, Oxford
*LE BOTERF G. (1990) : L’ingénierie et l’évaluation de la formation, Les Éditions
d’organisation, Paris
*LE BOTERF G. (1998) : L’ingénierie des compétences, Les Éditions d’organisation, Paris
LÉVY-LEBOYER C. (1996) : La
gestion des compétences, Les Editions d’organisation, Paris
MAGER R. F. (1977) : Comment
définir des objectifs pédagogiques, Dunod, Paris
MINDLER M.
(1996) : Didactique fonctionnelle,
De Boeck Université, Paris, Bruxelles
*PHAL A. (1971) : Vocabulaire général d’orientation scientifique (V.G.O.S.), Didier,
Paris
ROEGIERS X. (1997) : Analyser une action d’éducation ou de
formation, De Boeck Université, Paris, Bruxelles
ROPÉ F.,
TANGUY L. dir. (1994) : Savoirs et
compétences, L’Hamattan, Paris
STRAUVEN C.
(1992) : Construire une formation,
De Boeck Université, Paris, Bruxelles
*VAN EK J. A., ALEXANDER L.G., FITZPATICK M.A.
(1977) : Waystage, Conseil de l’Europe, Strasbourg
*VAN EK J. A., TRIM J.L.M. (1996) : Vantage
level, Conseil de l’Europe, Strasbourg
*VAN EK J. A., TRIM J.L.M. (1991) : Threshold level 1990, Conseil de
l’Europe, Strasbourg
YALDEN J. (1983) : The Communicative Syllabus : Evolution,
Design & Implementation, Pergamon Press, Oxford, New York
Conception de curriccula – C. Le Ninan, B.
Miroudot
25 heures
v Objectif général :
Être capable de concevoir des curricula de façon
raisonnée.
v Objectifs :
·
Passer
du référentiel au curriculum.
·
Définir
des objectifs et des contenus à partir de l’analyse des besoins, des ressources
et des contraintes.
·
Opérationaliser
les objectifs.
·
Établir
une progression.
·
Choisir
une méthodologie, des activités, des supports pédagogiques, un système
d’évaluation.
·
Rédiger,
harmoniser.
v Contenus :
·
Origine
de la démarche.
·
Rappel
de la différence entre référentiel, programme, syllabus, curriculum.
·
Typologie.
·
Les
différents éléments d’un curriculum.
·
Définition
et taxonomie des objectifs.
·
L’analyse
en arbre.
·
Objectifs
terminaux et intermédiaires.
·
Objectifs
d’intégration.
·
Intérêt
et limite de la démarche.
·
Étude
des cas “ FDA, FHT, FMPP ”.
·
Simulation
des cas “ douaniers, UB, FMPPP, PBIL, SIPP ”.
v Modalités de travail :
·
Périodes
alternant la présentation théorique des concepts, notions et outils, les
exposés des étudiants, l’étude et la simulation de cas réels, les mises au
point.
·
Travail
en grand groupe et en sous-groupes.
v Évaluation :
·
type :
devoir d’une longueur de trois à quatre pages (2000 signes/page) portant sur la
simulation d’un cas non étudié pendant le cours.
· critères
d’évaluation (5 points par critère) : qualité de la rédaction, maîtrise
des concepts, notions et outils, pertinence des solutions proposées.
v Bibliographie :
Conseil de la coopération culturelle, Comité de
l’éducation (1997) : Projet 2 d’une proposition de cadre
(Les langues vivantes : apprendre, enseigner, évaluer. Un cadre européen
de référence), Conseil de l’Europe, Strasbourg
*DE KETELE J.-M., CHASTRETTE M., CROS D., METTELIN
P., THOMAS J. (1988) : Guide du
formateur, De Boeck Université, Paris, Bruxelles
*FINOCCHIARO
M., BRUMFIT C. (1983) : The
Functional-Notional Approach, Oxford University Press, Oxford
*GRAVES
K. éd. (1996) : Teachers as Course
developers, Cambridge University Press, Cambridge
*HUTCHINSON
T., WATERS A. (1987) : English for
Specific Purposes, A Learning-Centred Approach, Cambridge University Press,
Cambridge
*LE
NINAN C. (1998) : Choisir et
exploiter des documents en français sur objectifs spécifiques ”, Le
français dans le monde, n 295
*MAGER R. F. (1977) : Comment définir des objectifs pédagogiques, Dunod, Paris
MINDLER M.
(1996) : Didactique fonctionnelle,
De Boeck Université, Paris, Bruxelles
ROEGIERS X. (1997) : Analyser une action d’éducation ou de
formation, De Boeck Université, Paris, Bruxelles
STOKS G.L.M. (1996) : Guide à l’usage des concepteurs de programmes (Les langues
vivantes : apprendre, enseigner, évaluer. Un cadre européen de référence),
Conseil de l’Europe, Strasbourg
STRAUVEN
C. (1992) : Construire une formation,
De Boeck Université, Paris, Bruxelles
*YALDEN J. (1983) : The Communicative Syllabus :
Evolution, Design & Implementation, Pergamon Press, Oxford, New York
Outils de
gestion - S. Delmotte
20 heures
v Objectifs :
Apporter les connaissances nécessaires à l’utilisation de l’informatique de groupes.
v Contenu :
Aspects matériels : les éléments constituants d’un système informatique.
·
Informatique
communicante : une introduction aux réseaux informatiques, réseau Internet
(réalisation de sites), le courrier électronique.
·
Utilisation
d’application orientées gestion : base de données et tableur (Access,
Excel).
·
Présentation
assistée par ordinateur (Powerpoint).
·
Présentation
des logiciels de gestion du centre.
v Evaluation :
Réalisation d’un projet informatique (base de données, présentation par ordinateur, site Internet).
v Bibliographie :
*CHANIER T., POTHIER M. éd.
(1998) : Hypermédia et apprentissage
des langues, Etudes de linguistique appliquée, n° 110, avril-juin.
Nouvelles
technologies éducatives – T. Chanier
25 heures
v Objectifs :
Montrer, d’une part, comment les utilisateurs apprennent véritablement grâce aux supports, technologies et concepts issus du domaine Apprentissage des Langues et Système d’Information et de Communication (SIC), d’autre part, quelles conditions doivent être remplies pour qu’un apprentissage ait lieu.
v Contenus :
· Etudes de différents types de SIC pour l’apprentissage des langues : outils linguistiques et systèmes auteurs permettant la mise en forme de matériaux multimédias ; didacticiels multimédias (sur support CD-ROM ou sur Internet) ; environnements informatiques de tests des compétences langagières.
· Exemples d’expérimentation permettant de comprendre comment les utilisateurs apprennent, quelles sont leurs stratégies d’apprentissage, comprendre les notions d’autonomie pour les apprenants et les conditions associées.
· Apprentissage en présentiel et à distance avec les systèmes de communication (Internet) et notion de “ classe virtuelle ”.
· Intégration des technologies éducatives dans une institution de formation.
· Conception d’un projet de développement de didacticiel multimédia ; évaluation.
v Evaluation :
La note sera établie sur la qualité du petit mémoire rendu en fin de cours. Les mémoires seront généralement rédigés en binôme et porteront sur des études de cas.
v Bibliographie indicative :
*ALSIC : REVUE Internet Apprentissage des langues et Systèmes d’Information et de Communication, http://alsic.univ-fcomte.fr.
*ELA (1998) : Numéro thématique “ Apprentissage des langues et environnements informatiques hypermédias ”, Etude de linguistique Appliquée, n° 110, avril-juin, pp 137-245.
*POUTS-LAJUS, E & RICHÉ-MAGNIER M. (1998) : L’école à l’heure d’Internet – Les enjeux du multimédia dans l’éducation, Paris, Nathan – Pédagogie.
ACTION, FORMATION ET RECHERCHE
Présentations,
représentations de soi - F. Migeot
12,5 heures
v Objectifs :
Aide à la prise de conscience de l’image de soi,
pour soi et pour les autres. Prise de conscience de sa dimension imaginaire.
Construction de l’image de soi et de l’autre dans le
discours. Aide à la prise de parole contrainte, à la prise de parole libre, à
la gestion des échanges verbaux.
v Moyens :
Récit de soi et de l’autre (fiction, autofiction, mise en récit de l’expérience et du vécu). Travail sur des C.V. Travail à partir de situations et de jeux de rôles : exposé, débat, présidence de séance, entretiens, présentation/évaluation de candidatures dans le cadre général d’une simulation globale.
Certaines séquences du travail seront enregistrées
en vidéo pour reprise et discussion en groupe.
v Evaluation :
Ce module n’est pas sanctionné par une note, mais toutes les activités requerront l’évaluation collective et argumentée. Ce module pourra faire lui-même l’objet de cette évaluation.
Documentation, CV et
éléments bibliographiques seront communiqués pendant le cours.
Politique linguistique - C. Truchot
20,5
heures
-
Acteurs et objectifs.
-
Démarches préalables : l’analyse de situations linguistiques.
-
Procédures et décisions.
-
Mesures d’aménagement/planification :
.
aménagement du statut d’une langue
.
aménagement de la langue (du corpus)
.
politiques linguistiques éducatives
- Mise en œuvre
- Types de politiques
v
Bibliographie
*CALVET Louis-Jean
(1996) : Les politiques
linguistiques, Que sais-je ?, Paris.
COOPER (1989) : Language Planning and Social Change,
Cambridge University Press.
*MAURAIS Jacques, dir.,
(1987) : Politique et aménagement
linguistiques, Le Robert, Paris.
SIGUAN Miguel (1996) : L’Europe des langues, Mardaga,
Bruxelles.
*TRUCHOT Claude et al., dir.
(1994) : Le plurilinguisme européen,
Théories et pratiques en politique linguistique / European Multilingualism,
Theory and Practise in language politics / Europäische
Mehrsprachigkeit,
Theorie und Praxis in der Sprach(en) Politik, Champion, Collection
“ Politique linguistique ”, Paris.
Les systèmes d’enseignement et de formation dans l’Union
Européenne - J. Migeot-Alvarado
12,5
heures
v Objectif :
L’objectif général de ce module est de permettre à un futur AIDL de comprendre l’articulation entre école et société en Europe et d’agir en fonction de la connaissance et de la réflexion qui permettront d’assurer l’ouverture de l’école du pays d’accueil à l’international, intégrant la dimension européenne, ouverture qui repose en grande partie sur une stratégie favorisant l’apprentissage des langues étrangères.
v Programme :
La compréhension de la relation Europe-éducation s’organisera autour de trois axes :
·
Un
axe historique autour de la politique menée par la Communauté Européenne en
matière d’éducation et de formation depuis le Traité de Paris jusqu’au Traité
de Maastricht, cheminement qui traduit les hésitations et les difficultés
inhérentes à une intervention extérieure et volontariste dans ce secteur.
·
En
second lieu, une approche sociologique et comparative autour des systèmes
éducatifs nationaux dont les structures et programmes se sont développés en
fonction des données historiques, politiques, économiques, linguistiques de
chaque pays – creusets de l’identité nationale – infléchis par des choix
politiques plus larges et porteurs des enjeux à venir.
·
Enfin,
un aperçu des programmes d’action en matière d’éducation et de formation
professionnelle qui traduisent la promotion des actions transnationales en
faveur d’une meilleure connaissance des langues et des cultures de l’Union.
Cette connaissance a pour objectif de favoriser les échanges et l’insertion
professionnelle des jeunes, de promouvoir la construction d’une identité
européenne, et de stimuler la création d’une conscience citoyenne européenne.
v Evaluation :
L’évaluation du module sera centrée sur l’élaboration de comptes-rendus de lecture et/ou des notes de synsthèse des documents ; et sur l’élaboration d’un projet de plan de formation autour de la connaissance de l’Union Européenne dans un contexte donné.
v Bibliographie :
*CHARLOT B., BEILLEROT J.
(1995) : La construction des
politiques d’éducation et de formation, P.U.F, Paris.
*DELORS J. (1996) : L’éducation. Un trésor est caché dedans, rapport
à l’UNESCO de la Commission internationale sur l’éducation pour le vingt et
unième siècle. Edition Odile Jacob, Paris.
*FIALAIRE J. (1996) : L’école en Europe, la documentation
française, Paris.
MIGEOT-ALVARADO J.
(1994) : La Comunidad Europea :
políticas y programas de action en materia de educacion-formacion-empleo, CINTERPLAN,
Caracas, Venezuela.
VANISCOTTE F. (1996) : Les écoles de l’Europe : systèmes
éducatifs et dimension européenne, INRP, IUFM de Toulouse, Paris.
L’Europe et les langues. Dimension européenne dans les pratiques
d’enseignement et de formation en langues étrangères, Actes des neuvième et
dixième rencontres ASDIFLE (Paris janvier 1992, Barcelone septembre 1992),
Paris, ASDIFLE 1993.
Réseaux francophones - J.M. Gautherot
18 heures
Grâce à la connaissance des réseaux et des enjeux qui les sous-tendent, être capable d’y circuler et d’en mobiliser les ressources pour la conception et la conduite d’actions et de projets dans le champ international des coopérations éducatives.
·
Identifier
les divers réseaux francophones.
·
En
circonscrire la réalité actuelle et historique.
·
En
appréhender les divers aspects linguistiques, culturels, politiques, voire
économiques et en apprécier, comparativement, la signification.
·
En
évaluer l’originalité, la pertinence et l’impact.
·
Définitions
et référents : Francophonie, francophonie et francophonies.
·
Emergence
historique et description structurelle des réseaux.
·
Motivations
et missions.
·
Analyse
du discours politique des acteurs et évaluation des organisations et des
actions.
·
Etude
de cas (institutions et associations). Témoignages de représentants et d’acteurs.
·
Alternance
de présentations assurées par l’intervenant, d’exposés des étudiants sur des
points particuliers et d’analyses collectives de documents.
·
Rédaction
d’une fiche de lecture, à fonction documentaire, d’un essai ou d’un rapport; ou
rédaction d’une note à caractère politique sur une réalisation de terrain.
·
Critères
d’évaluation : capacité d’analyse et de synthèse, pertinence de l’approche
critique, qualité de la rédaction et de la présentation.
AFI (Année
francophone internationale) (1999) : La Documentation française,
Paris.
*BARRAT J. dir. (1997) : Géopolitique de la francophonie, PUF, Paris.
*CHAUPRADE A. (1996) : L’espace économique francophone, Pour une Francophonie intégrale,
Ellipses/Forum francophone des affaires, Paris.
COSTE D. coord. (1984) : Aspects d’une politique de diffusion du français langue étrangère
depuis 1945. Matériaux pour une histoire, Hatier, Paris.
*DENIAU X. (1983/1998) : La francophonie. PUF coll. Que sais-je ?, Paris.
FRIJHOFF W. et REBOULLET A. coord. (1998) : Histoire de la diffusion et de
l’enseignement du français dans le monde, Le français dans le
monde/Hachette Edicef, Recherches et Applications, Paris.
GONTHIER J. et AMAR Y. coord.(1996) : La Francophonie : fresque et mosaïque,
CNDP/Haut Conseil de la Francophonie, Paris.
*HAUT CONSEIL DE LA FRANCOPHONIE (1997) : Etat de la Francophonie dans le monde.
Données 1995-1996, et 5 études inédites,1997-1998 et 6 études inédites, La
Documentation française, Paris.
REVUE DES SCIENCES MORALES ET POLITIQUES, Hors série
(1998) : La Francophonie - Etat des lieux. PUF, Paris.
SALON A. (1983) : L’action culturelle de la France dans le monde, Nathan, Paris.
TETU M. (1997) : Qu’est-ce que la francophonie?, Hachette Edicef, Paris.
Repères
linguistiques en F.L.E. - D. Lebaud
12,5 heures
v Objectifs :
·
Sensibiliser
les étudiants à des problématiques linguistiques différentes,
·
Leur
donner un minimum de repères pour ce qui est des conceptions grammaticales et
des conceptions de l’activité grammaticale dans l’enseignement/apprentissage
mises en œuvre dans différents ensembles didactiques présents sur le marché du
F.L.E.
v Programme :
Au travers de l’exposé de deux questions en langue,
nous viserons à introduire deux grandes approches théoriques des langues et du
langage : la première approche, appliquée à la construction attributive [GN/PRO]sujet être […]attribut,
s’inscrit dans le cadre (peu homogène en réalité) des théories de l’énonciation
et la seconde, appliquée au mot du discours d’ailleurs, dans celui (également
hétérogène) de la pragmatique linguistique et plus précisément de
l’argumentation.
v Evaluation :
Réalisation d’un mini-dossier dont l’objet sera une analyse critique, en relation avec les questions traitées dans le cours, de matériel didactique FLE.
v Bibliographie :
Pour la pragmatique et
l’argumentation :
ANSCOMBRE J.-C.
(1995) : Théorie des topoï,
Kimé, Paris. Dans cet ouvrage, on lira principalement les articles d’Anscombre
et de Ducrot.
MOESCHLER J. (1989) : Modélisation du dialogue, Hermès. Dans
cet ouvrage, on consultera particulièrement les pages 1 à 53.
Pour la théorie de
l’énonciation :
FRANCKEL J.-J. (1989) :
Etude de quelques marqueurs aspectuels du
français, Droz, Genève. On lira l’introduction et, par exemple, le chapitre
consacré au passé composé.
Pour la question de la
conceptualisation grammaticale :
*BAILLY D. : Didactique scolaire : le rôle de la
conceptualisation grammaticale dans l’apprentissage de la compréhension et de
l’expression en langue étrangère, in ELA n° 111, juillet-septembre 1998,
pages 325-344.
Repères
en didactique du F.L.E. - M. Souchon
12,5 heures
v Objectifs :
·
Donner
aux étudiants des repères leur permettant de faire le point sur leurs
compétences en didactique des langues étrangères.
·
Poser
le problème de la relation entre les compétences langagières visées et les
choix effectués au niveau du système éducatif en matière d’enseignement des
langues étrangères.
v Programme :
Les exemples d’enseignement
des langues étrangères développés sont les suivants :
·
les
différentes formes d’enseignement bilingue,
·
l’ “ éveil
au langage ”,
·
l’intercompréhension
entre langues-cultures différentes.
Ils ont été sélectionnés
parmi d’autres parce qu’ils posent clairement le problème des compétences
langagières et cognitives, à développer en fonction des choix effectués au
niveau du système éducatif.
v Evaluation :
Travail personnel orienté dans l’une des deux directions suivantes :
·
effectuer
son propre bilan de compétence en matière d’enseignement des langues
étrangères,
·
élaborer
un référentiel de compétences langagières pour un contexte particulier qui aura
été préalablement analysé.
v Bibliographie :
*CASTELOTTI Véronique, DE
CARLO Maddalena (1995) : La
formation des enseignants de langue, CLE International, coll. Didactique
des langues étrangères.
*DABENE Louise (1994) :
Repères sociolinguistiques pour
l’enseignement des langues, Hachette, coll. F.
*GERMAIN Claude
(1993) : Evolution de l’enseignement
des langues : 5000 ans d’histoire, CLE International, coll. Didactique
des langues.
Evaluation
linguistique - D. Laporte
12,5 heures
v Objectifs :
Sensibiliser l’étudiant à l’importance de l’évaluation dans l’enseignement – apprentissage des langues étrangères, non seulement pour l’enseignant et l’apprenant, pour les institutions et administrations de tutelle, mais pour la famille, les proches, la société en général autant que pour l’individu concerné.
v Programme :
·
Etude
des différentes théories de référence et approche des définitions de
l’évaluation linguistique.
·
Analyse
des différents types, outils, critères et moments d’évaluation.
·
Analyse
de la place, de la fonction et du rôle de l’évaluation dans l’enseignement –
apprentissage des langues étrangères.
·
Problématique
de la notation.
·
Statut
de l’erreur.
·
Analyse
des différents paramètres à prendre en compte pour mettre en œuvre une
évaluation linguistique réussie.
v Evaluation :
·
Elaboration
d’une fiche de lecture d’un ouvrage de référence au choix.
·
Devoir
/ étude de cas à envoyer en même temps pour le 15/01/2000.
v Bibliographie :
ALLAL L., BAIN D., PERRENOUD
P. (1993) : Evaluation formative et
didactique du français, Delachaux & Niestlé, Paris.
*DELF et DALF
(1990/93/94/95/96/98) cf. Commission Nationale du DELF et du DALF, Didier,
Paris.
DE PERETTI A. (1998) : Encyclopédie de l’évaluation en formation et
en éducation, Paris, ESF éditeur.
*HADJI C. (1992) : L’évaluation, règles du jeu. Des intentions
aux outils, ESF éditeur, Paris.
MEYER G. (1995) : Profession enseignant. Evaluer : pourquoi ?
Comment ?, Paris, Hachette Education.
*TAGLIANTE C. (1991) : L’évaluation, CLE International, Paris.
VOGLER J., coord. PAR.
(1997) : L’évaluation, Paris,
Hachette Education.
*Cahiers pédagogiques (1987)
(1991), n° 259, n° spécial “ L’évaluation ”, sept., & n° spécial
mai, Paris, éd. C.P.
Conseil de l’Europe
(1996) : Les langues vivantes : apprendre, enseigner, évaluer. Un cadre européen commun de référence, Projet
2. Conseil de la coopération culturelle, Comité de l’éducation, Strasbourg.
E.L.A. (1990, oct-déc), n°
80 : L’évaluation en didactique des
langues et des cultures, coord. Porcher, L., Paris, Didier Erudition.
Le Français dans le Monde
(1993) : Evaluation et
certifications en langue étrangère, n° spécial, août-septembre.
Traductologie - S. Prudham
12,5 heures
v Objectifs :
Conduire une réflexion sur le rôle de la traduction professionnelle dans la communication internationale et la formation nécessaire aux futurs traducteurs; étudier la place qui peut/doit être réservée à cette activité dans l’enseignement/apprentissage des langues étrangères.
v Programme :
·
La
traductologie, science de la traduction.
·
Les
métiers de la traduction.
·
Modalités
d’exercice.
·
Exigences
de chaque métier.
·
La
traduction dans la classe de langue.
·
Former
des traducteurs professionnels. Quelques formations existantes.
v Evaluation :
Un devoir, sous forme de dissertation qui devra montrer, non seulement une connaissance de la bibliographie mais aussi une réflexion personnelle d’un point de vue didactique et pratique. Les candidats devront se mettre dans la situation de construire un programme de formation selon les besoins et le milieu où ils exerceront leur activité professionnelle.
v Bibliographie :
*BALLARD Michel (1984) : La traduction – de la théorie à la didactique, Presses de
l’Université de Lille III.
CORDONNIER Jean-Louis (1995) : Traduction et culture, Coll. Langues et
apprentissage des langues, Hatier/Didier, Paris.
DARBELNET Jean (1963) : Pour une revalorisation des exercices de traduction dans l’étude des
langues, in Culture (Québec), n° 24, pp 348-355.
*DURIEUX Christine (1988) : Fondement didactique de la traduction
technique, Coll. Traductologie, n° 3, Didier Erudition, Paris.
Etudes de Linguistique Appliquée, n° 24,
octobre-décembre 1976.
Le Français dans le Monde, Coll. Recherches et
Applications, “ Retour à la Traduction ”, Hachette, Paris,
août-septembre 1987.
HEBERT Jean (1970) : Manuel de l’Interprète, Université de Genève, Ecole d’Interprètes,
Ed. Georg, Genève.
*LADMIRAL Jean-René (1979) : Traduire, théorèmes pour la traduction, Paris,
Payot (Petite Bibliothèque Payot) n° 366.
LADMIRAL Jean-René (1987) : Pour la traduction dans l’enseignement des
langues, in Traduire, langue maternelle/langue étrangère, n° spécial de la
Revue Les Langues Modernes, n° 1.
*SELESKOVITCH Danika, LEDERER Mariane : Interpréter pour traduire, Cahiers de
Traductologie n° 4, Didier Erudition, Paris.
*SELESKOVITCH Danika (1975) : Langage, langues et mémoire, Thèse,
Minard, Paris.
THOMAS Arlette, FLAMMAND Jacques (dir.)
(1984) : La traduction :
l’universitaire et le praticien, Congrès Université du Québec à Montréal du
28 au 31 mai 1980, Editions de l’Université d’Otawa, Canada.
Préparation
à la conférence (en anglais) - P. Albert
12,5 heures
v Objectifs :
Pendant cette formation pratique, qui se déroulera
en langue anglaise, nous procéderons à l’étude
et à la pratique du langage et
des expressions caractéristiques des échanges professionnels et sociaux dans le
cadre de réunions, colloques, et congrès (présenter le sujet de sa communication,
le développer, articuler ses idées, décrire les figures utilisées, conclure,
prendre la parole lors d’un débat…).
v Contenus :
Chaque participant préparera une présentation orale d’une durée de 8 à 10 minutes maximum concernant un sujet de recherche ou un thème à caractère professionnel. Ces communications seront suivies d’un court débat (questions-réponses) et seront enregistrées pour visionnement ultérieur et commentaires (organisation, style, utilisation de la langue, efficacité).
v Evaluation :
L’évaluation tiendra compte du niveau de participation pendant la formation, de la préparation et la présentation de la communication orale ainsi que de la manière de gérer le débat (questions).
v Bibliographie :
*BOOTH
V. (1993) : Communicating in
Science : Writing scientific papers and speaking at scientific meetings.
Second Edition. Cambridge University Press. 78 p.
SIDES
C. (1991) : How to Write and Present
Technical Information. Second Edition. Cambridge University Press. 170 p.
*PAQUETTE
A. and ROEHNER B. (1991) : Science
in English. Belin. 258 p, Paris.
LYNCH
T. (1983) : Study Listening :
Understanding Lectures and Talks in English. Cambridge University Press. 92
p.
LYNCH
T. and ANDERSON K. : Study Speaking.
Cambridge University Press. 112 p.
NAVARD L. (1991) : L’Anglais de la Communication scientifique internationale.
Eyrolles, Paris.
SHEPPARD P. : Discours et exposés en anglais comme en français.
Modalités de contrôle et d'évaluation
Le contrôle des connaissances se fera à la fois à
partir d’un contrôle continu des enseignements (pour 40 %) et d’un travail
personnel donnant lieu à mémoire et soutenance (pour 60 %).
1.
Contrôle
continu des enseignements :
(40% du total)
Feront l’objet d’un contrôle
continu dont les modalités seront fixées par chaque intervenant, les
enseignements suivants :
¨ Ingénierie de la formation
(10% du total) : tous les enseignements sauf “ Analyse des
besoins ”,
¨ Ingénierie pédagogique (10%
du total) : tous les enseignements sauf “ Pédagogie du projet ”,
¨ Action, formation et
recherche (10% du total) : tous les enseignements sauf
“ Présentations, représentations de soi ”,
¨ Linguistique et didactique
(10% du total) : tous les enseignements.
1.
Rapport
de stage et soutenance :
(60% du total)
Le rapport de stage (entre
30 et 50 pages) fera l'objet d'une présentation orale devant un jury et
l'ensemble des candidats.
Ce rapport devra apporter la
preuve que le stagiaire est capable de réinvestir dans un projet effectivement
réalisé les notions, concepts et méthodes présentés au cours de la formation.
Il devra aussi manifester la
capacité du candidat à prendre du recul par rapport à l’expérience du stage
pour en modéliser certains aspects afin de la rendre transférable. Le stagiaire
devra rédiger son rapport en pensant qu’il constituera pour lui sa “ carte
de visite ” pour se présenter sur le marché de l’emploi.
N.B. : Pour chaque contrôle, une partie (le tiers de la note) sera attribuée
à une fiche de lecture.
v Coordination du DESS Acteur international
dans le domaine des langues
Marc Souchon, Responsable du
DESS Acteur international dans le domaine
des langues, reçoit tous les étudiants qui désirent le rencontrer le mardi
de 13h30 à 15h30. Son bureau est au niveau 6. Prendre rendez-vous auprès de
Catherine Garcia (secrétariat niveau 1 - tél. : 03.81.66.52.60).
Le secrétariat du DESS Acteur international dans le domaine des
langues est situé au niveau 1. Il est ouvert de 9h à 12h et de 13h30 à 17h.
Le panneau d’informations est situé au fond du couloir , à droite de l’Accueil
(niveau 1).
Le bureau d’accueil (niveau
1), animé par Emmanuelle Beneteau et Paulette Bresson, est ouvert du lundi au
vendredi de 8h30 à 12h15 et de 13h45 à 17h30.
L’accueil est à votre
disposition pour :
¨ vous donner des informations
pédagogiques, indiquer les enseignants absents, les modifications de salles,
etc...,
¨ vous remettre votre courrier
ou vos fax (à partir de 10h, auprès de Paulette Bresson), la réception des fax
se faisant au numéro (33) 3 81 66 52 25,
¨ obtenir tout renseignement
pour des démarches administratives, pour rechercher un médecin, etc...
v Courrier électronique (Mél.)
Se renseigner auprès de notre informaticien :
Stéphane Delmotte.
Ces deux services sont situés salle 505 (niveau
5) :
. Activités sportives : tennis, cours de natation, volley-ball,
danse modern’jazz, football, gymnastique, aïkido, etc., organisés en
collaboration avec le SUAPS (service Universitaire des Activités Physiques
Sportives et de Plein Air). Le programme complet est à votre disposition au
bureau des Activités Culturelles auprès de Hervé Leches.
. Activités culturelles : vous trouverez toutes les informations
sur le théâtre, la musique, les expositions, etc. à Besançon. Vous pourrez vous
inscrire aux ateliers hebdomadaires organisés dans nos locaux : oenologie,
cuisine, musique, théâtre, danse, chant, vidéoclub, etc. Contacter Hervé
Leches.
. Service échanges : vous désirez échanger des conversations,
pratiquer une langue, préparer un voyage, lier amitié.
Il se situe au niveau 0.
Animé par Marie-Claire Glorieux, il est ouvert du lundi au vendredi de 9h à 12h
et de 14h à 17h.
Animée par Athanase Shungu, elle se trouve au niveau 0.
¨ Apprentissage et utilisation
de logiciels outils, tels que les traitements de texte et les bases de données.
¨ Apprentissage et utilisation
de didacticiels pour l’apprentissage des langues étrangères et principalement
le français langue étrangère.
Située au niveau 0, elle est ouverte du lundi au jeudi de 8h00 à 18h00 et le vendredi de 8h00 à 17h00. C’est un lieu de travail et de lecture-détente :
¨ Libre accès aux documents
pédagogiques.
¨ Lecture des journaux et
magazines en langue française et en plusieurs langues étrangères.
¨ 1500 documents en FLE, FOS,
Sciences du langage, enseignement et formation, civilisation et littérature.
¨ Consultation de cédéroms
encyclopédiques.
¨ Fonds documentaire
informatisé avec possibilité de recherche et de prêts informatisés.
¨ Possibilité de travailler en
autonomie : salle d’écoute, informatique et vidéo.
¨ Conseils pour vos recherches
documentaires.
¨ Photocopies en libre
service.
v
Cafétéria
La cafétéria panoramique du CLA, ouverte du lundi au vendredi de 8 h 00 à 18 h 00, est située au 5ème étage.
Le café est servi par Jérôme et Francis. Restauration légère, chaude et froide, le midi.